16.3.08

Consolation



Bon, c'est une consolation comme une autre, un peu maigre, certes, à côté de l'idée de partir, mais au moins, on quitte une ville de droite pour une ville de gauche; et pour le plaisir, même si ce n'est toujours pas une présidentielle, on savoure enfin une soirée de victoire. Rhooooo, qui a dit que j'étais un petit con embourgeoisé??

J'espère que vous avez voté, les enfants!

4 commentaires:

Cacahuète a dit…

Y'en a un qui a failli me faire pleurer à Pau...toujours pas de charisme mais il est touchant!

Anonyme a dit…

Moi j'ai trouvé que c'était le juste retour de bâton de la stratégie de non-choix. La politique c'est faire des choix, qui peuvent se révéler mauvais, mais c'est la noblesse de l'Homme Politique que d'en faire et d'en assumer les conséquences. Comment voulez vous élire quelqu'un qui pour son propre parti est incapable de fixer le moindre cap, la moindre idéologie (au sens noble du terme).

En plus ça entretient l'idée que gauche et droite c'est pareil, la pire idée a fourrer dans le crâne des français. C'est du la pensée de prisunic, du consensus idéologique mou.

Vincent a dit…

WHAT is that??

Lilibuzz a dit…

Moi, ces élections me laissent un gout de déception ....
ou comment France 2 annonce Tibéri battu et que moi j'y ai cru !
Déception de voir que finalement il avait bel et bien gagné, n'en déplaise aux estimations, de justesse certes, mais gagné ... bouh, bouh ...