École rue Buffon. Photographie de Robert Doisneau, 1956
Normalement.
Parce que cette année, j'avais décidé de me la jouer marginale et de partir en douce à Glaglacity. Mais toutes les bonnes choses ont une fin, ma brave dame.
Du coup, la rentrée pour moi et ben c'était aujourd'hui.
Bon, une rentrée en douceur, puisque j'ai commencé les cours à une heure indigne pour tout élève de CM2, bien après que le dernier dir'com' ait fini sa pause café-clope.
Mais une rentrée quand même.
La dernière de ma scolarité en fait, pour reprendre l'état d'esprit "bilantesque" du Vinshou.
C'est donc pour la première fois de l'année 2008 que j'ai pris le tram "en trafic perturbé" vers Pessacville pour me rendre "gaiement" à mes premiers cours de ma dernière année de master, après une bonne heure de préparation.
Bah oui, tu penses, après 5 mois d'absence je me devais de faire une entrée triomphale au sein de notre école au coeur de l'université, afin de laisser planer la magnificence de mon statut d'étudiante de dernière année sur mon passage, et de répondre d'un ton dégagé que pour moi, le nouvel an cette année, c'était à New York.
Alors bien sur, j'ai exagéré la neige et le froid de Glaglacity, usé et abusé de superlatifs pour décrire Montréal et New York, tout en forçant le trait de ma désolation de me retrouver à nouveau sur les bancs de l'école après avoir voyagé de par le monde.
Enfin, forcé le trait, pas si sûr ... 4h30 d'économie des finances publiques et de théories économiques des affaires publiques, ça calme vite !
Le moleskine et mes crayons Cornell University n'ayant pas longtemps tenu le coup face aux vieilles habitudes de ma scolarité française : plan en deux parties, exposés, revues de presse, études de cas, essais, examens écrits et oraux, galops ... En plus, par le jeu de la spécialisation récente des masters et des emplois du temps en accordéon de chacun, les collègues habituellement présents n'étaient point là pour m'assurer de leur soutien primordial pour survivre dans cette jungle !
Tout un programme qui m'a très vite rappelé le pourquoi du comment que j'avais eu si soudain envie de filer à l'anglaise un an plus tôt !
Mais j'ai tenu le coup, et après une pause déjeuner indigne des pauses syndicales nord-coréennes, j'ai fait contre mauvaise fortune, bonne figure, et j'ai décidé de regarder le bon côté de la force et de tirer profit de ces mois à venir !
Sum sum corda, face à l'axe du bataillon !
Parce que cette année, j'avais décidé de me la jouer marginale et de partir en douce à Glaglacity. Mais toutes les bonnes choses ont une fin, ma brave dame.
Du coup, la rentrée pour moi et ben c'était aujourd'hui.
Bon, une rentrée en douceur, puisque j'ai commencé les cours à une heure indigne pour tout élève de CM2, bien après que le dernier dir'com' ait fini sa pause café-clope.
Mais une rentrée quand même.
La dernière de ma scolarité en fait, pour reprendre l'état d'esprit "bilantesque" du Vinshou.
C'est donc pour la première fois de l'année 2008 que j'ai pris le tram "en trafic perturbé" vers Pessacville pour me rendre "gaiement" à mes premiers cours de ma dernière année de master, après une bonne heure de préparation.
Bah oui, tu penses, après 5 mois d'absence je me devais de faire une entrée triomphale au sein de notre école au coeur de l'université, afin de laisser planer la magnificence de mon statut d'étudiante de dernière année sur mon passage, et de répondre d'un ton dégagé que pour moi, le nouvel an cette année, c'était à New York.
Alors bien sur, j'ai exagéré la neige et le froid de Glaglacity, usé et abusé de superlatifs pour décrire Montréal et New York, tout en forçant le trait de ma désolation de me retrouver à nouveau sur les bancs de l'école après avoir voyagé de par le monde.
Enfin, forcé le trait, pas si sûr ... 4h30 d'économie des finances publiques et de théories économiques des affaires publiques, ça calme vite !
Le moleskine et mes crayons Cornell University n'ayant pas longtemps tenu le coup face aux vieilles habitudes de ma scolarité française : plan en deux parties, exposés, revues de presse, études de cas, essais, examens écrits et oraux, galops ... En plus, par le jeu de la spécialisation récente des masters et des emplois du temps en accordéon de chacun, les collègues habituellement présents n'étaient point là pour m'assurer de leur soutien primordial pour survivre dans cette jungle !
Tout un programme qui m'a très vite rappelé le pourquoi du comment que j'avais eu si soudain envie de filer à l'anglaise un an plus tôt !
Mais j'ai tenu le coup, et après une pause déjeuner indigne des pauses syndicales nord-coréennes, j'ai fait contre mauvaise fortune, bonne figure, et j'ai décidé de regarder le bon côté de la force et de tirer profit de ces mois à venir !
Sum sum corda, face à l'axe du bataillon !
5 commentaires:
Je ne fais plus de soutien psychologique, j'ai arrêté, ça me tapait sur les nerfs. Vous cracherez donc sur notre belle école entre vous, moi j'ai trois mois à tirer et ça va faire cinq ans que j'y suis, alors je vais pas me désespérer maintenant!
Pour ce qui est d'être physiquement en présence les uns des autres, en revanche, il faudra quand même qu'on trouve un arrangement. Qui se dévoue pour sécher son cours de 12h-14h?
@modestime : c'est moi qui ai supprimé ton message bichon !
Autant garder encore un peu de mystère sous nos pseudos !
d'accord mais je t'attends jeudi alors:
mod.
Oui, c'est toujours un peu dur, les retours, les rentrées, ... Mais il ne te reste plus que qq mois et il faut arriver à n'y prendre que les côtés positifs (si, si, y'en a forcément!!! faut bien que je m'en convainque (que c'est laid, comme mot!) puisque je suis encore loin de la sortie...)
En tout cas, ça me fait bien plaisir de te voir de nouveau parmi nous!!
& n'hésite surtout pas à passer à la maison!
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